Parce que passer de ça :
à ça dans la même journée :
le choc psychologique est trop fort......
mercredi 25 septembre 2013
mardi 10 septembre 2013
Tronches de profs !
Souvenirs souvenirs de la Sorbonne, où beaucoup certains cours laissaient du temps pour gribouiller les profs.
mardi 3 septembre 2013
...Doudous mobiles !
Deux petites pochettes de portables DIY.
Deux modèles uniques, pour deux personnalités bien trempées !
dimanche 18 août 2013
mercredi 7 août 2013
jeudi 1 août 2013
mercredi 24 juillet 2013
Review - Mike Kelley - Centre Pompidou
Un vendredi après de midi de libre ? Hop, un petit saut au Centre Pompidou !
Mike Kelley sera ma visite du jour.
Mike Kelley manipule tous les médiums (vidéo, peinture, dessin, textile, animation numérique, installation, maquettes...) avec cette touche propre à la West Coast, si identifiable..
Un accrochage qui a tenté de présenter un large "échantillon" des oeuvres de ce touche-à-tout, mais qui reste, à mon sens, néanmoins trop évasif et met trop peu en valeur sa haute créativité, voire son génie. Même si certaines des pièces présentées me laissent de marbre, il évident que son audace et son esprit trash ont marqué et influencé à tout jamais le monde des arts plastiques et graphiques.
Une rétrospective qui mérite tout de même un petit coup d'oeil, surtout pour les passionné de graphisme comme moi.
Un article des Inrocks détaille parfaitement l'oeuvre et la vie de l'artiste californien.
Mike Kelley sera ma visite du jour.
Mike Kelley manipule tous les médiums (vidéo, peinture, dessin, textile, animation numérique, installation, maquettes...) avec cette touche propre à la West Coast, si identifiable..
Un accrochage qui a tenté de présenter un large "échantillon" des oeuvres de ce touche-à-tout, mais qui reste, à mon sens, néanmoins trop évasif et met trop peu en valeur sa haute créativité, voire son génie. Même si certaines des pièces présentées me laissent de marbre, il évident que son audace et son esprit trash ont marqué et influencé à tout jamais le monde des arts plastiques et graphiques.
Une rétrospective qui mérite tout de même un petit coup d'oeil, surtout pour les passionné de graphisme comme moi.
Un article des Inrocks détaille parfaitement l'oeuvre et la vie de l'artiste californien.
lundi 15 juillet 2013
Art of Michael Kenna
Voici un photographe auquel je suis particulièrement sensible.
Des paysages minimalistes, dans lesquels tous les bruits semblent étouffés. Mais la composition, les contrastes aux noirs profonds et denses comme du velours, ainsi que le grain des photographies sont tellement forts qu'ils se suffisent à eux-même. Des terres, des lieux figés à tout jamais dans le temps, tel un mystère qui ne sera jamais élucidé...
Je reviens en ce moment à mes appareils photos argentiques, avec mon amour de Lubitel ! Je sens que les temps de pause très longs de cet artiste vont largement m'inspirer....
Des paysages minimalistes, dans lesquels tous les bruits semblent étouffés. Mais la composition, les contrastes aux noirs profonds et denses comme du velours, ainsi que le grain des photographies sont tellement forts qu'ils se suffisent à eux-même. Des terres, des lieux figés à tout jamais dans le temps, tel un mystère qui ne sera jamais élucidé...
Je reviens en ce moment à mes appareils photos argentiques, avec mon amour de Lubitel ! Je sens que les temps de pause très longs de cet artiste vont largement m'inspirer....
lundi 8 juillet 2013
First Press Release !
L'exposition se termine le 27 juillet prochain, mais pas ma fierté d'avoir rédigé ce premier communiqué de presse sur la première exposition personnelle en France de l'artiste indienne Shanthamani. M.
Je vous laisse découvrir cela en images, et en quelques mots...
Toutes les photos :
Vue de l'expositon de Shanthamani. M & Terry Taylor, Galerie Suzanne Tarasieve Paris / LOFT 19
© Rebecca Fanuele
Courtesy Suzanne Tarasieve Paris
"Suzanne Tarasieve est heureuse de présenter pour la première fois les sculptures de l’artiste indienne Shanthamani. M, et les nouvelles peintures de l’artiste australienne Terry Taylor.
Shanthamani. M travaille ces dernières années exclusivement le charbon de bois, matériau qui évoque à la fois la création artistique, la révolution industrielle et le réchauffement climatique – la métamorphose.
Grâce à cette ressource naturelle, l’artiste matérialise les bouleversements culturels et sociaux que connaît actuellement l’Inde, pays en plein essor économique.
Icarus / Jatayu, une aile unique et calcinée, nous remémore le mythe grec d’Icare, mais également un mythe indien aux troublantes similarités : Jatayu. D’avoir trop approché le soleil, un demi-dieu à l’apparence d’un aigle se brûle les ailes et chute fatalement. L’aile d’un être libre disparaît pour laisser place à la représentation d’une perte d’espoir, se révélant inéluctable face à une mondialisation autant bénéfique que destructrice.
Hands, deux mains jointes qui semblent avoir été sectionnées d’un corps, fait écho au rôle de la force manuelle de l’être humain dans la croissance du pays ainsi qu’à la puissance d’évocation de cette partie du corps dans les peintures et sculptures religieuses. Paumes tournées vers le ciel, la gestuelle se lit comme une prière, une supplication, ou encore une offrande. Un blanc lisse et uniforme contraste intensément avec le noir mat, poreux et craquelé du charbon, renforçant ainsi les contradictions entre espoir et inquiétude. Une échappatoire est-elle possible ?
Enfin, Back Bone, serpente au sol tel le Gange. Une rivière hybride, symbole à elle seule de toute la culture indienne, elle nous apparaît dans toute sa puissance – nous pouvons l’appréhender dans son ensemble – et dans sa détérioration, dans son assèchement. Noire, brûlée, fissurée, comme si elle avait été arrachée à un corps vivant, la sculpture semble accompagnée de la mort ou de la solitude. Le Gange étant la colonne vertébrale de la culture indienne, l’Inde suivant son rythme, si la rivière s’éteint, une catastrophe se produira…
« Les peintures de Terry Taylor rappellent également notre destinée mortelle, avec insistance, mais non sans jubilation. Elle a un modèle infatigable pour ses peintures à l’huile macabres : le crâne humain. Elle peint des crânes indéfiniment répétés, abondamment empilés ici dans une espèce d’ossuaire ou de fosse commune médiévale, isolés là dans une pose digne d’un portrait royal, revêtus ailleurs de somptueux atours pour quelque mariage rituel, cérémonie sacrificielle ou spectacle biblique. Terry Taylor élabore des portraits solennels et des compositions à personnages qui revendiquent l’héritage sombrement sardonique de Jérôme Bosch et James Ensor. L’artiste ressuscite l’antique tradition des vanités hollandaises du XVIIe siècle et autres memento mori, mais, à la différence de ses prédécesseurs, elle met en scène des protagonistes écorchés jusqu’à l’os telles de lugubres marionnettes dans un théâtre de charnier.
[…] On a l’impression que les squelettes représentés par Terry Taylor n’ont rien d’exceptionnel pour elle. Ce sont de simples visiteurs parmi d’autres, venus des profondeurs de la tombe. La fixation sur les têtes de mort et sur notre fin prochaine entre en résonance avec le malaise de la société moderne sur cette question. Elle renvoie aux rites lents d’une époque ancienne où l’on côtoyait la mort au quotidien, y compris celle des enfants. Comme Terry Taylor aime à le dire, notre vie n’est qu’une « visite en coup de vent »." (Kate McCrickard)
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
SUZANNE TARASIEVE PARIS / LOFT19
Passage de l’Atlas / 5, Villa Marcel Lods – 75019 Paris
T : +33 (0)1 45 86 02 02
vendredi 5 juillet 2013
Wild Gallery
A la galerie, nous avons quelques pensionnaires.... peu communs, qui élisent domicile depuis plusieurs semaines. Une vraie jungle de chimères, avec lesquelles il faut cohabiter tout près.... Entre carnaval et songe chamanique, le travail de Julien Salaud est d'une grande richesse, tout en finesse et est inépuisable de connotations puisées au coeur d'un imaginaire collectif.
Toutes ces oeuvres sont de l'artiste Julien Salaud, représenté par la Galerie Suzanne Tarasieve (Paris, France).
lundi 1 juillet 2013
Talisman Party
Parce que l'été semble enfin décidé à poser ses valises par ici.... Ca donne des envies d'accumuler les bracelets gri-gri au lieu des pull-over.....
Bagues : vintage Inde et de la boutique Les Fleurs (Paris)
Bracelets : vintage Inde, Agatha, DIY, vintage Grèce-Rhodes.
mardi 25 juin 2013
vendredi 21 juin 2013
Greece, Rhodos, Kiotari / Lindos / Rhodos / Genadi
Sun. Sea. Bright. Wind. Beach. Sand. Landscape. Puzzling. Awesome. Friends. Amazing. Tears. Lythos. Sparkling. Metaxa. Fun. Dance. Bikini. Nap.
Swimming. Night. Overwhelming.
Swimming. Night. Overwhelming.
Love.
lundi 17 juin 2013
London calling !
Londres va finir par devenir une destination que je choisirai en aller simple, à force d'y aller régulièrement.
Cette fois-ci, la raison de ce petit séjour de deux jours était le concert des Kings of Leon, dans la gigantesque salle de l'O2 Arena !!!
2h de concert explosif, qui sont passées beaucoup trop vite.... Mais quand même, les Kings, on sait que venez en terrain déjà conquis, des milliers de fan à vos pieds, pourtant il faudrait songer à travailler un peu plus votre jeu de scène.... Tout va trop vite, les chansons s'enchaînent trop rapidement... tellement que j'en ai déjà oublié la majeure partie du set !
J'ai pu également faire le tour de quelques galeries d'art londoniennes, dont la fameuse collection Saatchi !!!
Un accrochage qui en met plein les yeux, notamment trois pièces qui m'ont particulièrement touchées :
Cette sculpture monumentale ressemblant à un cerf-volant hybride qui semble être la capture du vol d'un cerf-volant grâce à long temps de pose...
Marcelo Jacome, Planos-Pipas n17, 2013
Parce que ma monomanie du papier m'a attirée vers cette installation de calque imprimé, plié et suspendu, recréant une ville d'un pays en voie de développement adossée à une colline invisible.
Han Feng, Floating City, 2008
La dernière, mais celle que je placerai en top 1 de mon classement tant elle sollicite tous les sens du corps : un bassin d'huile de moteur qui prend aux tripes par son odeur mais aussi par une irrésistible envie d'y plonger pour en découvrir la profondeur ou la texture. Un aspect totalement lisse de la matière, qui, au contraire, aiguise toute notre curiosité et fascination...
Richard Wilson, 20:50, 1987
lundi 10 juin 2013
I would love to eat you
Inscription à :
Articles (Atom)